L’implantologie : où en sommes-nous ?

Depuis les travaux de l’équipe du Pr. Bränemark à Göteborg (Suède) sur l’ostéointégration, l’implantologie a fait des progrès considérables et est devenue une technologie hautement spécialisée.

Grâce à de nouvelles techniques chirurgicales, un plus grand nombre de patients peut maintenant bénéficier d’implants.
Les statistiques d’implantologie se sont considérablement améliorées, le taux d‘échec n’étant plus que de 1% sur les patients implantés.

Ce fort pourcentage de succès est en partie dû à une meilleure étude du site implantaire : la préparation du site, que ce soit au moment de l’extraction ou lors de la correction des défauts osseux ou gingivaux, est essentielle.

L’imagerie cone beam (scanner en 3 D à rayonnement nettement diminué) permet une visualisation immédiate.
La prise en considération de l’abord parodontal (état du tissu parodontal qui entoure l’implant) dans la gestion implantaire est un élément qui améliore encore le taux de réussite de cette chirurgie.

Ainsi le matériel spécifique à la pose d’implants, le choix des implants, leur état de surface et les techniques opératoires ont fortement évolué; même si certains grands principes restent immuables :

 

  • N’utiliser que du titane pur
  • Employer une instrumentation parfaitement adaptée à la nouvelle forme des implants
  • Favoriser une stabilisation primaire de l’implant, (l’implant doit être très fixe lors de l’intervention), sans effort ni traumatisme

 

 

La chirurgie préimplantaire, de plus en plus sophistiquée, peut redonner du volume osseux avant de poser les implants par le biais de :

 

  • La chirurgie d’expansion de crête ou d’apposition qui permet d’augmenter l’épaisseur d’une crête osseuse résorbée et de corriger son volume et ses contours.
  • La chirurgie osseuse intra sinusienne qui, en augmentant la hauteur d’os, rend possible la pose d’un implant.

 

 

Grâce à un implant, il est possible de remplacer tout de suite une dent manquante. En effet, pour le confort du patient qui n’est pas obligé d’attendre plusieurs mois avant d’avoir une dent définitive (surtout dans les régions visibles du sourire), l’on peut réaliser une mise en charge immédiate en posant une couronne directement sur l’implant.

Prothèse dentaire sur implant

Différents types de prothèses peuvent être réalisés sur des implants, de la même manière que sur la racine des dents.

Prothèse fixée sur implant

Des couronnes et des bridges peuvent être réalisés sur des implants. Une ou plusieurs empreintes sont effectuées et la couronne ou le bridge sont ensuite confectionnés par un prothésiste dentaire et sont fixés aux implants par vissage ou par collage.

Prothèse amovible sur implants

Les prothèses amovibles, qu’elles soient partielles ou complètes peuvent être stabilisées par des implants. Les implants sont mis en place avant la réalisation de la prothèse ou sous une prothèse déjà existante. La prothèse vient se fixer sur le ou les implants par des moyens d’attache qui se présentent souvent sous la forme de petits boutons-pression.
Dans certains cas, stabiliser une prothèse amovible partielle permet de supprimer des crochets qui seraient inesthétiques.

Délais de réalisation de la prothèse après la mise en place des implants

De façon générale, on attend qu’un implant soit bien intégré à l’os dans lequel il a été placé pour réaliser la prothèse (entre deux et six mois). Avec l’évolution des implants, ce délai tend à diminuer ; il est possible, parfois, de réaliser une prothèse transitoire immédiatement après la pose de l’implant. Ceci permet, surtout pour les dents antérieures, d’avoir une prothèse transitoire tout à fait esthétique.

Coût et remboursement

Il est déterminé en fonction du nombre de dents à remplacer, du nombre d’implants à poser et du type de prothèses à placer. Un plan de traitement permet d’établir un premier devis pour la chirurgie (pose de l’implant) et la prothèse (couronne ou appareil). Actuellement, la Sécurité Sociale ne prend en charge que la prothèse sur implant. Certaines assurances complémentaires proposent des forfaits annuels pour la pose d’implant.

Implants dentaires – Implantologie

La mise en place chirurgicale des implants peut paraître impressionnante. Il s’agit pourtant d’une intervention relativement rapide dont les suites se déroulent très bien, dans la grande majorité des cas.

Mise en place des implants dans une clinique ou au cabinet dentaire

La mise en place d’implants nécessite une asepsie opératoire rigoureuse. Elle peut être réalisée au cabinet ou en bloc opératoire en fonction des habitudes du chirurgien et de la configuration de son cabinet, qui s’adapte ou non à la pose d’implants.

La mise en place de l’implant

Une anesthésie locale est réalisée. La gencive est incisée et dégagée pour avoir accès au site osseux où la pose de l’implant est prévue. Le passage successif de forets de différents diamètres permet de préparer le logement dans lequel l’implant est ensuite mis en place.

La fermeture du site chirurgical

Une fois le ou les implants mis en place, le site d’intervention doit être refermé soigneusement afin de permettre à l’implant de s’intégrer totalement à l’os de la mâchoire dans les meilleures conditions.

Deux options de fermeture sont possibles :

1ère option : avec enfouissement total des implants
La gencive est remise en place et suturée dans sa position initiale. Les implants sont alors entièrement enfouis sous la gencive, et donc très bien protégés. Si cette option est choisie, il faudra rouvrir légèrement la gencive deux à six mois plus tard pour dégager la tête des implants afin de réaliser la prothèse.

2ème option : sans enfouissement des implants
La gencive est suturée en laissant dépasser la tête des implants. La gencive cicatrise directement autour des implants. Cette technique permet d’éviter un deuxième temps chirurgical pour dégager la tête des implants. En revanche, les implants sont moins bien protégés pendant la période d’intégration osseuse. Cette option est réservée aux cas les plus favorables.

Qu’est-ce qu’un implant dentaire ? Indications et contre-indications

Un implant dentaire est assimilable à une racine artificielle. Il se présente le plus souvent sous la forme d’une vis en titane placée dans l’os de la mâchoire. Il remplace la ou les racines d’une dent absente et sert de support pour réaliser une couronne, un bridge, une prothèse amovible…

Quand pose-t-on un implant ?

Un implant peut être mis en place, soit immédiatement après l’extraction d’une dent, soit après la cicatrisation de l’os et de la gencive. L’acte chirurgical est souvent simple et peu douloureux. Il se fait sous anesthésie locale comme pour le traitement d’une carie.
La prothèse définitive est réalisée après la solidification de l’os autour de l’implant (dans un délai de 2 à 6 mois). Dans certaines conditions, une prothèse provisoire peut être mise en place immédiatement après la pose de l’implant.

Indications et contre-indications

Pour poser un implant, il faut que le volume et la qualité de l’os de la mâchoire soient suffisants. Ces paramètres sont généralement évalués à l’aide d’un scanner. Cependant il est aussi possible d’augmenter le volume osseux à l’aide d’une greffe osseuse. Il est également important que les dents voisines et la gencive soient saines.

Voir aussi : Les greffes osseuses pré-implantaires

Un questionnaire médical permettra d’écarter d’éventuelles contre-indications : irradiation de la face, haut risque d’endocardite infectieuse (infection d’une valve du cœur par des bactéries de la bouche).
Les contre-indications relatives sont plus fréquentes : mauvaise hygiène, tabac, diabète non équilibré, prise de médicaments anticoagulants…

La couronne tout céramique

La couronne tout céramique comporte un noyau à base d’alumine ou de zircone*. Elle est conçue sans armature métallique et est recouverte d’une céramique esthétique de la même couleur que celle de la dent.

La zircone est un matériau capable de résister à l’usure et au temps et sa transparence s’apparente à celle de la dent naturelle.
Spécificités :

  • Très grande biocompatibilité : pas d’allergie liée au métal, pas d’interaction avec d’autres matériaux de restauration
  • Résistance et stabilité dans le long terme
  • Qualités mécaniques importantes ce qui permet la réalisation de couronnes unitaires mais également de bridges de petites étendues
  • Aucune transition visible au niveau du rebord de la gencive (pas de liséré grisâtre apparaissant à sa base)

 

Sa conception et sa fabrication font appel à des procédés très évolués utilisant la CFAO (Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur).
Le moulage de vos empreintes est scanné pour être transformé en données numériques. Ces données sont ensuite envoyées à un logiciel de CAO permettant de visualiser vos empreintes en 3D et de concevoir le noyau de la future couronne.
Ces éléments sont ensuite traités par une machine-outil qui fraise un bloc de céramique pour la réalisation de la chape de la couronne.

Enfin, le prothésiste dentaire recouvre cette base d’une céramique cosmétique afin de réaliser une dent ayant la forme et la teinte de vos dents naturelles.

* La ZIRCONE : carte d’identité
La zircone est le nom commun de l’oxyde de zirconium C’est un biomatériau utilisé, entre autres, pour remplacer le métal dans la réalisation des infrastructures des couronnes céramiques. La zircone s’est imposée comme matériau d’avenir dans les restaurations « tout céramique ».

Stabilisation des prothèses amovibles complètes

La prothèse amovible sur implants est une solution qui permet de stabiliser une prothèse amovible totale (dentier) en la fixant sur des implants prévus à cet effet.

C’est un choix particulièrement intéressant pour les patients qui doivent porter une prothèse complète mais qui ne peuvent bénéficier d’une prothèse fixe sur de nombreux implants, que ce soit pour des raisons anatomique (volume osseux insuffisant) ou économique.

Les prothèses traditionnelles qui s’appuient sur les gencives et l’os de la mâchoire ont tendance à s’amincir et se résorber au fil du temps, ce qui est fréquent chez les personnes âgées.
La prothèse n’est plus ajustée à la gencive et bouge, ce qui va causer une gêne importante pour les fonctions de mastication et d’élocution. Cette détérioration est particulièrement visible pour les prothèses de la mâchoire inférieure.

Si l’on fixe la prothèse sur des implants, elle ne bouge plus et apporte confort et fiabilité.
L’ancienne prothèse peut être utilisée mais il est recommandé, pour un meilleur résultat, de refaire une nouvelle prothèse.

Sur le plan biomécanique la tenue de la prothèse est assurée par les tissus de soutien de la bouche (ostéofibromuqueux). Les implants sont utilisés comme un moyen de rétention complémentaire de la prothèse amovible.

Principes

Une fois le dispositif choisi, 2 à 4 implants sont mis en place lors d’un premier rendez-vous. Après une période d’ostéointégration d’environ 3/4 mois, le dispositif est mis en charge. La partie de la prothèse qui est en contact avec la gencive est évidée afin d’y fixer les attaches.

Systèmes d’attachement

Il existe différentes sortes d’attachement pour fixer la prothèse. Les plus fréquemment utilisés sont :

Un dispositif de boutons-pression
La prothèse se clipse alors directement sur les implants dentaires avec une partie mâle vissée sur l’implant, et une partie femelle placée dans la résine de la prothèse (comme avec un bouton-pression). Il est aussi possible de doser la résistance du bouton-pression.
Ce dispositif est utilisé pour les deux mâchoires, mais principalement pour le maxillaire inférieure ou si la zone de contact entre la gencive et l’appareil est insuffisante. Il apporte une bonne protection contre les forces de retrait.

La barre d’Ackerman
Les implants sont reliés par une barre qui assure la contention des piliers et la tenue de la prothèse. La prothèse est alors fixée sur cette barre. Le dentier comporte des attaches ou cavaliers qui viennent se clipser sur la barre.
Cette réalisation est intéressante pour le maxillaire inférieur. L’esthétique et la fonction sont assurées. Il faut toutefois penser à remplacer les attachements pour toujours assurer la stabilité de l’appareil.

Les nouveaux matériaux utilisés pour reconstruire une dent abîmée

Une dent abîmée peut être reconstruite avec ce que l’on appelle une prothèse dentaire fixe.

Selon l’état de la dent il sera effectué :

  • un inlay s’il faut remplacer une partie de la dent, un onlay qui est une couronne dentaire partielle
  • une couronne dentaire, qui recouvre toute la dent et la consolide
  • un bridge, lorsqu’il manque une ou plusieurs dents

Pendant très longtemps les matériaux de base du praticien et du prothésiste ont été les métaux. Le développement des céramiques dentaires permet d’utiliser des matériaux aptes à simuler l’aspect naturel des dents et supprime, dans un certain nombre de cas, les armatures métalliques.

 

Les inlays/onlays « esthétique »

Il est possible maintenant de fabriquer des inlays et des onlays en résine composite ou en céramique, qui reproduisent de façon exacte la teinte et la forme de vos dents.

 

La couronne dentaire céramo-métallique

Elle est composée d’une coque en métal recouverte d’une céramique de la même couleur que celle de la dent. Avec un long recul dans son utilisation on lui reconnaît une haute stabilité.
Elle présente un aspect un peu opaque. L’infrastructure métallique risque de transparaître au fil du temps du fait de la rétraction des gencives.

 

La couronne dentaire céramo-céramique

Avec un noyau à base d’alumine ou de zircone, elle est recouverte d’une céramique cosmétique de la même couleur que celle de la dent. C’est donc une couronne dentaire sans métal. Sa composition, qui n’absorbe pas la lumière, permet de retrouver l’aspect translucide d’une dent naturelle.

Spécificités :
Sa très grande biocompatibilité et son importante résistance mécanique en font un matériau de choix.
Sa conception et sa fabrication font appel à des technologies très évoluées.

 

Taux de remboursement des reconstructions

Le remboursement par l’Assurance maladie est de 70% de la base de remboursement appelée BR.
Le reste à charge dépend du contrat souscrit auprès de l’organisme complémentaire. N’hésitez pas à poser la question à votre Mutuelle avant de débuter les soins.

N.B. Les différences d’honoraires entre une couronne céramo-métallique et une couronne céramo-céramique sont dues au protocole de fabrication plus complexe du tout céramique.

A lire aussi : Les inlays et les onlays : une alternative au plombage et Les bridges

Les inlay-cores

Un inlay-core est un dispositif prothétique qui permet de reconstruire la partie visible de la dent et qui servira de support pour la mise en place d’une couronne.

Dans le cas de dents très abîmées (carie importante, fracture) il est parfois impossible de poser une couronne sur le fragment de dent qui subsiste.

Pour consolider la dent, un inlay-core est alors réalisé. C’est une pièce métallique ancrée dans la ou les racines de la dent, et dont la partie supérieure servira de support à la future couronne.

De ce fait l’inlay-core est aussi appelé « faux-moignon ».

La décision de faire appel à un inlay-core ne sera prise qu’après un examen clinique (position de la dent, état parodontal…) et un examen radiologique.

Principales indications

L’inlay-core est indiqué chaque fois que toute autre restauration classique s’avère insuffisante, soit en terme de résistance mécanique soit en terme de surface d’appui.

  • Renforcement ou reconstitution d’une dent à couronner
  • Traitement d’une dent servant de pilier à un bridge (nécessité d’un ancrage fort)
  • Mauvaise occlusion (contact entre les deux mâchoires) et pression mal répartie
  • Malpositions dentaires

La pose d’un inlay-core nécessite la dévitalisation préalable de la dent.

Un traitement approprié élimine la pulpe dentaire restante et prépare les canaux à recevoir le pivot de l’inlay-core.

Une fois l’inlay-core posé, une empreinte de l’ensemble est prise permettant la confection sur mesure de la couronne par le prothésiste. Elle est ensuite scellée comme si elle était placée sur une dent avec une reconstitution « simple ».

En plus d’une forte résistance à la pression masticatoire, l’inlay-core permet d’obtenir une bonne étanchéité au niveau de l’obturation des canaux. Par ailleurs il assure une solide jonction entre la racine et la couronne.

Comme tout matériau placé dans la bouche, l’inlay-core peut être réalisé en métal précieux.

L’alliage nickel-chrome est proscrit afin d’éviter les problèmes de corrosion et d’allergie. Si nécessaire il peut être fait en céramique (zirconium).

A consulter : Les bridges et ponts dentaires

A lire aussi : Les couronnes dentaires

Les prothèses amovibles complètes

Les prothèses amovibles complètes permettent de remplacer l’ensemble des dents sur une mâchoire. Elles peuvent être insérées et enlevées à volonté.

Conception de la prothèse

La réalisation des prothèses amovibles complètes nécessite une succession d’étapes d’une grande précision. En effet, deux empreintes ou plus sont nécessaires pour enregistrer de façon très précise la position de la gencive, de la langue, des lèvres et des joues.

Utilisation des boutons-pression :
Si la surface de contact entre la prothèse et la gencive n’est pas suffisante, ou si la salive vient à manquer, on peut stabiliser la prothèse à l’aide de boutons-pression placés sur des implants.

Le suivi

Lorsque l’on porte une prothèse amovible complète pour la première fois, il faut prévoir une période d’adaptation, notamment pour s’alimenter.

Dans les semaines qui suivent la pose de la prothèse, de nombreux réglages peuvent être nécessaires afin de parfaire sa morphologie et d’assurer un confort optimum.
Avec le temps, il est possible que l’os et la gencive de la mâchoire s’affaissent et entraînent une perte de stabilité de la prothèse. On remédie à cette situation en réalisant un « rebasage », qui permettra de combler les espaces libres entre la prothèse et la gencive.

Les couronnes dentaires

Les couronnes prothétiques permettent de reconstruire des dents très délabrées, qu’elles soient dévitalisées ou non.

Principales étapes de réalisation d’une couronne dentaire prothétique

  • La dent est préparée et une couronne dentaire provisoire en résine est mise en place.
  • Si la dent est dévitalisée et fortement délabrée un tenon peut être placé dans la dent, soit directement, soit en passant par une empreinte de l’intérieur de la racine.
  • Une empreinte dentaire est prise et envoyée au prothésiste afin qu’il réalise la couronne dentaire.
  • La couronne dentaire est posée après un essayage.

Les différents types de couronnes dentaires

La couronne dentaire en résine ou couronne dentaire provisoire
Elle protège la dent pendant les étapes de conception de la couronne dentaire définitive. Mais, avec le temps, la résine devient poreuse et les microbes passent au travers ; il faut donc éviter de la garder trop longtemps.

La couronne dentaire métallique
C’est la moins chère des couronnes dentaires prothétiques mais la moins esthétique. Elle reste néanmoins une prothèse dentaire d’excellente qualité. Le métal utilisé doit être choisi de façon judicieuse. En effet, la présence dans la bouche de nombreux métaux de natures différentes peut provoquer l’apparition d’un goût métallique, voire de légers picotements. Son prix et sa teinte varient en fonction du métal utilisé (alliage à base d’or ou non).

La couronne dentaire céramo-métallique
Elle est constituée d’une coque en métal recouverte d’une céramique qui a la même couleur que les dents. La présence de métal sous la céramique ne permet pas d’obtenir le même degré de translucidité que les dents naturelles ce qui peut donner un aspect opaque à la couronne.

La couronne dentaire tout céramique
Elle fait appel à des procédés de conception très évolués. Elle est constituée d’une armature en céramique extrêmement résistante, recouverte d’une céramique cosmétique de même couleur que les dents. Ces couronnes dentaires sans métal ont un excellent rendu esthétique et une biocompatibilité supérieure aux couronnes dentaires céramo-métalliques.