L’Agénésie dentaire

L’agénésie dentaire, ou absence de dent à la naissance, peut concerner toute la population. Il existe des formes légères avec l’absence de une à six dents et l’on parle alors d’oligodontie. Des formes plus sévères peuvent exister mais sont plus rares.

Les agénésies dentaires touchent les dents de lait ou et les dents définitives et sont d’origine génétique.
En plus des parents, les premiers à pouvoir être alertés par l’absence de dents sont le médecin pédiatre et le chirurgien-dentiste. Des particularités dentaires déjà connues dans l’entourage familial seront à signaler dès le premier rendez-vous.

Il existe deux types d’agénésie : l’agénésie dentaire isolée et l’agénésie dentaire syndromique.

Agénésie dentaire isolée

La perturbation génétique ne touche que la fabrication des dents. Il n’y a pas de pathologie associée. L’on parle d’agénésie non syndromique.
Dans le mode de transmission des parents aux enfants, les deux gènes, celui du père et celui de la mère interviennent. Cette transmission se fait de manière dominante c’est-à-dire que le gène défectueux (responsable de l’absence de fabrication des dents) va dominer le gène qui fonctionne correctement.
Cependant il existe une variabilité de l’expression de l’anomalie : le descendant peut ne pas avoir d’agénésie tout en étant porteur du gène défectueux.
Le descendant peut aussi avoir un nombre de dents absentes différent de celui de son ascendant.

Exemple : Un père consulte avec son fils âgé de 6 ans qui présente des agénésies dentaires. L’examen clinique ne révèle pas d’autres particularités morphologique ni physiologique. En revanche l’étude de l’arbre généalogique montre que le père est lui-même porteur d’agénésies dentaires et que le grand-père présente aussi des dents absentes. On parle donc d’agénésie dentaire isolée d’origine génétique.

Agénésie dentaire syndromique

La perturbation génétique touche non seulement la fabrication des dents mais peut aussi être responsable d’autres anomalies. Dans de nombreux syndromes génétiques, les dents représentent un «marqueur génétique» qui constitue souvent un premier symptôme.
On comprend l’importance d’une consultation auprès d’un généticien dans le cas d’agénésies dentaires multiples pour diagnostiquer le type isolée ou syndromique.

Exemple : Une jeune fille de 12 ans présente des agénésies dentaires isolées. L’examen clinique montre d’autres problèmes dont l’un, sérieux, au niveau de l’œil. Il s’agit alors d’une agénésie dentaire syndromique qui nécessite le diagnostic d’un généticien. L’intérêt pour l’enfant, outre le soin de ses problèmes dentaires, sera d’aller vers un dépistage et une prise en charge globale évitant l’aggravation des autres troubles.

Traitements réparateurs

La prise en charge des agénésies dentaires dépend du nombre de dents absentes et de leurs localisations. L’on peut compenser les dents absentes, soit par un appareil amovible soit par la mise en place d’implant. Un bilan orthodontique est indispensable pour assurer une bonne occlusion de la cavité buccale.

La génétique dentaire

Tout individu a un patrimoine génétique constitué normalement de 46 chromosomes comprenant environ 20 000 gènes qui codent le corps humain. Le gène est une séquence d’ADN (acide désoxyribonucléique) qui détermine la synthèse des protéines.

C’est à partir de ces protéines que l’être humain se forme, de 0 à 3 mois dans la phase embryologique de différenciation, puis jusqu’à la naissance dans la phase de multiplication.

Plusieurs types d’accidents peuvent survenir :

  • Lors de la division des chromosomes pour constituer les spermatozoïdes et les ovules matures
  • Durant les phases de différenciation et de multiplication cellulaires pendant la gestation

Les anomalies du développement embryonnaire se traduiront alors par un organe mal formé, ou par l’absence partielle ou totale de l’organe, or la dent constitue un marqueur génétique du développement de l’individu, au même titre que la face et les extrémités.

Les caractéristiques de la cavité buccale ne sont souvent décelées que par le professionnel spécialisé qu’est le chirurgien-dentiste. Il est donc capital que ce praticien, dans sa consultation de l’enfant et de l’adolescent, ait un regard global sur la cavité buccale.

Si une particularité morphologique lui apparaît, type agénésie (absence définitive d’une ou plusieurs dents), dent surnuméraire (présence de dent définitive en trop grand nombre), dyschromie (défaut de coloration de la dent allant du blanc crayeux au marron), il convient d’essayer de reconnaître la cause et la nature du problème. Si un doute persiste quant à l’origine génétique de ce trouble, il sera bon de s’adresser à une consultation de génétique médicale.

On compte environ 200 à 300 syndromes associant des malformations dentaires à un syndrome génétique.

Les exemples les plus courants sont :

  • L’Amélogénèse imparfaite (AI) est caractérisée par une malformation de l’émail (partie visible de la dent lorsque l’on sourit) qui peut prendre un aspect granuleux, associé à une teinte jaunâtre. L’AI peut être isolée, ou associée à un autre syndrome et l’on parle alors d’association syndromique.
  • La dentinogénèse imparfaite (DI) est caractérisée par une malformation de la dentine (partie situé sous l’émail et servant de matrice morphologique à la dent) qui présente un défaut de minéralisation. La DI peut être isolée ou associée à un autre syndrome comme par exemple l’ostéogénèse imparfaite (fragilité osseuse constitutionnelle). Le diagnostic précoce par le chirurgien-dentiste est essentiel pour la prise en charge thérapeutique et la limitation du risque de fractures osseuses.

Le tabac et votre santé bucco-dentaire

Si les fumeurs savent bien que leur santé et celle de leur entourage est menacée par le tabac, peu ont conscience des dégâts qui se développent à bas bruit dans leur bouche.

De ce fait, ce sont souvent les colorations dues aux dépôts de nicotine sur les dents, et aussi sur les prothèses et obturations esthétiques, qui poussent le patient fumeur à consulter.

Le blanchiment dentaire

Il est bon de savoir que le tabac n’est pas responsable de la formation de tartre, mais de sa coloration, et qu’une séance de détartrage permet d’éliminer ces taches.

Cependant, si l’on envisage un traitement de blanchiment des dents, il faut envisager d’arrêter de fumer, au moins pendant la durée du traitement et si possible après !

Les gingivites

Pour le fumeur, apparemment tout va bien : pas de gencive enflée ni de saignement au brossage.
Or, fumer masque un certain nombre de symptômes et, chez le fumeur, les réactions naturelles à la gingivite sont ainsi camouflées :

 

  • La nicotine stimule la libération d’adrénaline ce qui entraîne une diminution du calibre des vaisseaux.
  • Le monoxyde de carbone est responsable d’une baisse du transport d’oxygène dans les tissus.

 

 

Finalement, la mauvaise irrigation des gencives par un sang appauvri en oxygène entraîne une diminution des signes inflammatoires, les saignements, et retarde ainsi le diagnostic de la pathologie et la mise en place d’un traitement.

Les interventions chirurgicales

Dans le cas d’une intervention chirurgicale (extraction dentaire, pose d’implant…) il est recommandé de ne plus fumer car la diminution de la vascularisation de la gencive, et de l’os de support, entraîne une moins bonne cicatrisation.

Le risque de suites post-opératoires douloureuses est augmenté à cause de la difficulté pour le caillot sanguin à se former ; l’hémostase est ralentie et les muqueuses cyanosées.

Une chirurgie buccale peut ainsi être une excellente occasion pour prendre la décision de ne plus fumer, avec un réel bienfait tant pour votre santé bucco-dentaire que pour votre santé en général.

La santé bucco-dentaire

La santé bucco-dentaire est étroitement liée au bon fonctionnement de l’ensemble dents et gencives mais elle est aussi en relation directe avec notre état de santé général et notre bien-être.

Quelques conseils :

Démarrez les soins dentaires précocement et brossez les dents de bébé avec une pâte dentifrice au fluor dès que les premières dents de lait apparaissent.
N’habituez pas vos enfants, avant de s’endormir, à boire du lait, du jus de fruits ou une boisson sucrée au biberon. Ces liquides sucrés se maintiennent longtemps à la surface des dents et peuvent conduire à la « carie dentaire du biberon ».

Brossez-vous les dents au minimum deux fois par jour avec une pâte dentifrice fluorée.
Et si possible, nettoyez vos dents avec du fil dentaire ou un cure-dent une fois par jour. Ne mangez plus le soir une fois vous être brossé les dents, car le flux salivaire diminue pendant le sommeil.

Rendez visite à votre dentiste environ tous les 6 mois pour un contrôle.
Et consultez votre dentiste avant de recourir à des produits esthétiques (par exemple, des agents blanchissants), qui peuvent détériorer les dents.

Ne grignotez pas et ne buvez pas à tout bout de champ.
Entre les repas, laissez du temps à la salive pour neutraliser l’acidité et réparer les dents.

Les personnes à haut risque d’abrasion et d’érosion dentaire doivent prendre des précautions particulières telles que :

 

  • réduire la fréquence et le contact avec des aliments et des boissons acides
  • éviter de se brosser les dents immédiatement après avoir consommé des aliments et des boissons acides, des agrumes et des jus de fruits. Ce laps de temps permet à la reminéralisation de s’effectuer.
  • utiliser les bains de bouche au fluor et les chewing-gums sans sucre, efficaces pour contrer l’acidité d’un repas et stimuler la reminéralisation.

 

Les chewing-gums sans sucre sont les « amis » des dents.
Ils augmentent le flux salivaire et favorisent l’élimination des débris alimentaires de la bouche.

Attention : La mastication du chewing-gum est déconseillée si vous portez un appareil orthodontique ou certains types de prothèse.

La bouche, miroir de notre état de santé : l’impact du diabète

Le diabète peut avoir un impact sur les vaisseaux des gencives, la sensibilité à l’infection et le flux salivaire.

Un autre paramètre est important : la manière dont notre organisme se défend contre l’infection, appelée encore « susceptibilité à l’infection ». En effet certaines maladies générales diminuent notre potentiel de défense immunitaire et augmentent notre susceptibilité à l’infection. L’équilibre de notre flore buccale est alors perturbé.

C’est le cas dans le diabète par exemple, quand le taux de sucre dans le sang n’est pas équilibré. La relation à double sens qui unit le diabète et les maladies parodontales est scientifiquement établie : le diabète a des impacts sur la santé de notre bouche et, à leur tour, les parodontopathies sont susceptibles de déséquilibrer la glycémie et d’aggraver le diabète.

Impacts du diabète sur le parodonte :

 

Au niveau vasculaire : le diabète altère les petits vaisseaux. Les tissus vont rapidement souffrir par manque d’oxygène.

Au niveau du système immunitaire : le dysfonctionnement des globules blancs entraîne une susceptibilité accrue à l’infection. Les cellules responsables de la formation de l’os et du collagène ne fonctionnent plus normalement ; la cicatrisation des muqueuses est retardée et la destruction du parodonte est rapide et sévère.

Au niveau de la sensibilité : il y a une sensation de brûlure autour de la langue avec une perte de goût. La diminution du flux salivaire est souvent observée et, sans cette protection précieuse, les muqueuses asséchées sont souvent le siège d’infections par des champignons (candidose). Le risque carieux augmente également.

Prévention des endocardites infectieuses d’origine bucco-dentaire

L’endocardite infectieuse (fixation et multiplication d’une bactérie sur le cœur) est une maladie grave dont l’origine bucco-dentaire reste fréquente.

Le problème de la « porte d’entrée »

Pour le comprendre, il faut rappeler l’existence et la variété de la flore microbienne buccale normale dans laquelle les streptocoques occupent la première place. Lors de soins dentaires, les germes passent dans le sang entraînant une infection bactérienne qui est massive mais courte (environ 30 mn).
Les actes dentaires les plus souvent en cause sont les suivants :
– extractions multiples
– chirurgie gingivale
– détartrage

L’importance de cette infection est fonction de l’inflammation gingivale et une antisepsie locale avant le geste chirurgical permet d’en diminuer l’intensité. Il est à noter que les soins dentaires internes (traitement d’un canal par exemple) étant peu hémorragiques comportent moins de risques de passage de germes dans le sang.

L’atteinte cardiaque

En principe, seuls les cœurs porteurs d’une maladie préexistante risquent véritablement d’être infectés par un germe d’origine buccale, en particulier les malades atteints d’une maladie congénitale (communication entre les ventricules ou maladie bleue par exemple) ou encore d’une maladie des valves du cœur.
Les plus exposées au risque sont incontestablement les personnes déjà opérées et porteuses d’une prothèse valvulaire cardiaque.
En fait, même en l’absence de diagnostic précis, il est préférable de considérer comme à risque tous les sujets porteurs d’un « souffle au cœur » même s’il n’entraîne pas de conséquences cardiaques proprement dites.

L’endocardite une fois déclarée nécessite des soins de longue durée, avec une antibiothérapie par voie veineuse. Dans certains cas, il peut être nécessaire d’effectuer une opération de chirurgie cardiaque pour remplacer ou réparer la valve touchée par le microbe.

Le protocole d’antibioprophylaxie

Bien que de nombreuses discussions aient eu lieu et se poursuivent, l’attitude consensuelle actuelle cherche à privilégier la simplicité et la fiabilité.

En l’absence d’allergie aux pénicillines il sera donné un antibiotique de ce type. En cas d’allergie il sera prescrit un antibiotique adapté.

Les infections à distance

Les dents et leur parodonte (gencive et os de soutien de la dent) peuvent être les portes d’entrée d’infections bactériennes pouvant entraîner des pathologies générales graves.

Origine de l’infection située au niveau de la dent

Si une dent abîmée ou fracturée n’est pas soignée rapidement, la pulpe de cette dent se nécrose et se putréfie. Les microbes se diffusent alors par la racine avec le risque de créer un abcès localisé. Les bactéries, en se développant dans l’os, libèrent des toxines qui entraînent une destruction du tissu osseux de la mâchoire et se propagent dans les tissus environnants.

L’infection peut alors emprunter des voies indirectes telles que la circulation lymphatique ou sanguine.

– Propagation par voie lymphatique : les ganglions de la tête et du cou gonflent et deviennent douloureux.

– Propagation par voie sanguine : les bactéries vont gagner un autre organe comme les sinus, les yeux, le coeur, les poumons ou les articulations. Elles peuvent alors déclencher des pathologies sur ces organes, mais aussi, et surtout, aggraver des pathologies préexistantes.

Origine de l’infection située au niveau du parodonte

Les maladies du parodonte d’origine bactérienne ont le pouvoir, dans certaines formes aigües, augmenter ou maintenir le risque de développer des pathologies telles que : diabète, maladies cardiovasculaires (endocardite, athérosclérose, coronopathies), affections pulmonaire et respiratoire, complications en cas de grossesse, problèmes lors de chirurgie cardiaque ou de chirurgie orthopédique (prothèse de hanche, de genou, etc.).

L’occlusion dentaire

L’occlusion dentaire est l’ensemble des contacts établis entre les dents du maxillaire (fixées au crâne) et les dents de la mandibule (qui est mobile).

Avoir une bonne occlusion représente un élément capital pour votre santé.

Mais, dans certains cas, ces contacts ne sont pas corrects, par exemple si de mauvaises habitudes déplacent les dents, ou si des dents extraites n’ont pas été remplacées et que les dents restantes ne sont plus en équilibre. Des traitements dentaires, orthodontiques ou prothétiques, peuvent aussi créer des obstacles.

Quand faut-il consulter ?

 

Si les formes ou la place des dents ne leur permettent plus de s’emboîter convenablement lors du serrage, la mandibule se décale alors pour obtenir cet emboîtement. Cette position d’adaptation de la mandibule peut aboutir à des crispations des muscles des mâchoires ou à des difficultés dans l’articulation de la mandibule. Les mouvements sont alors contrariés ou douloureux.

La situation est aggravée si le patient serre beaucoup les dents comme c’est le cas dans les situations de stress. Alors les difficultés musculaires peuvent se transformer en véritables blocages et les douleurs de la région articulaire irradier tout le côté de la tête.

Les troubles musculo-squelettiques

 

En fait, cette position décalée de la mandibule passe inaperçue dans la plupart des cas et les patients supportent très bien cette situation… Jusqu’au jour ou d’autres soucis s’additionnent. Si le patient serre des dents la nuit, ou s’il est stressé durant son travail, le déplacement de la mandibule peut perturber la posture du crâne sur la colonne vertébrale. Apparaissent alors des douleurs du cou ou des épaules. L’ensemble de la posture du corps peut être affectée par un déséquilibre mandibulaire important et prolongé.

Mais bien d’autres causes peuvent aboutir à ces douleurs générales qu’on désigne du terme de troubles musculo-squelettiques (TMS). Les dents et l’occlusion sont-elles responsables de ces douleurs qui vous gâchent la vie et que vous avez du mal à identifier ? Il faut alors consulter votre chirurgien-dentiste, ou votre médecin, et demander à ce que votre occlusion dentaire soit évaluée.

L’examen est délicat et le diagnostic souvent difficile. Mais le traitement est simple. Il fait en général appel à des conseils comportementaux, ou des orthèses orales, voire à une équilibration occlusale. Quand on sait que 20% de la population serait affecté de désordres d’occlusion il est bon de ne pas oublier cette cause de troubles musculo-squelettiques.

A lire aussi : Le bruxisme

La technique Invisalign® Align Technology

Invisalign® est un traitement orthodontique basé sur le port successif d’une série de gouttières transparentes en plastique fabriquées à partir des empreintes dentaires du patient.

Align Technology utilise une technologie de modélisation en 3D de pointe (scan 3D par tomographie numérique et logiciel propriétaire Treat®) pour appliquer les mouvements définis par le praticien afin d’arriver au résultat final. Ces mouvements sont séquencés dans une animation appelée ClinCheck®, dans laquelle chaque étape correspond à une gouttière de traitement que le praticien peut modifier à sa convenance. Une fois le plan de traitement accepté par le praticien, chaque gouttière est fabriquée par thermoformage sous vide à partir d’un modèle unique en résine (SLA) correspondant à chacune des étapes de l’animation et réalisée par stéréo-lithographie.

Chaque gouttière doit être portée 22 heures par jour pendant 15 jours. Elles ne sont retirées que pour manger, boire, se brosser les dents et pour des occasions spéciales.

Les avancées technologiques basées sur la mutualisation de  l’expérience acquise par les praticiens depuis plus de 10 ans et des données collectées sur plus de 1.200.000 traitements dans le monde font d’Invisalign® une technique fiable et efficace pour les traitements les plus simples comme les plus les complexes.

Les avantages :

–   pratiquement invisible

–   confortable

–   amovible

–   rendez-vous plus courts et plus espacés

Les inconvénients :

Les gouttières étant amovibles, l’implication du patient dans son traitement est primordiale.

Pour en savoir plus, consulter www.invisalign.fr

La mise en place de nombreux Programmes Universitaires (dont 5 en France et 2 en projet) ainsi que la publication de nombreux articles et ouvrages apportent à la technique le crédit et la reconnaissance de la profession.

Align Technology a également établi un programme de Formation Continue destiné à accompagner les praticiens dans leur maîtrise de la technique : formation sur deux journées à 4 mois d’intervalle, groupe de discussions locaux (Study Club), Forum Clinique annuel, Sommet Européen et International, etc…

Initialement réservé aux patients adultes, Invisalign® est disponible pour les adolescents depuis mars 2009 et le lancement d’Invasilign Teen®.

Les avantages esthétiques et de confort ainsi que la simplicité d’utilisation d’Invisalign® sont plébiscités par le nombre sans cesse croissant de patients qui recherchent une solution discrète et confortable sans pour autant diminuer la qualité et l’efficacité du traitement. Ainsi, le nombre de patients traités avec Invisalign® augmente de plus de 50% chaque année en France !

A propos d’Align Technology

Siège Social : Santa Clara, CA – USA

Employés : > 1900

Gouttières fabriquées : > 55.000.000

Praticiens formés : > 60.000

La ligne du sourire

Avec les yeux, le tiers inférieur du visage constitue un élément important dans le regard de l’autre : la blancheur des dents attire l’œil et la bouche est le siège de la parole comme de nombreuses expressions faciales, dont bien sûr le sourire.

L’on distingue :

  • La ligne du sourire basse (20% de la population)
    Les personnes exposent moins de 70% de leurs dents antérieures et n’exposent pas leurs gencives.
  • La ligne du sourire moyenne (70% de la population)
    Les personnes exposent de 75% à 100% de leurs dents pendant le sourire, ainsi que leurs papilles gingivales (petit triangle de gencive situé entre chacune des dents).
  • La ligne du sourire haute ou gingivale (10% de la population)
    Les personnes exposent la hauteur de leurs dents ainsi qu’une hauteur de gencive.

Le sourire fait partie d’un ensemble et son harmonie est liée à un équilibre entre les différents éléments du visage.
Il n’y a donc pas de « sourire type » à rechercher par chacun.

Cependant l’essentiel des demandes d’esthétique dentaire sont en rapport avec le sourire afin de préserver, ou de recréer, la bonne relation entre les dents, la gencive et le visage. Les traitements employés font généralement appel à des soins parodontaux (pour les gencives,) à l’orthodontie (malpositions) ou à des réhabilitations prothétiques (taille, forme et teinte des dents). La chirurgie plastique peut aussi être proposée pour les tissus mous (lèvres).

Certains traitements peuvent être simples, mais d’autres beaucoup plus complexes. Une thérapeutique complexe est généralement pluridisciplinaire, sous-tendue par un diagnostic approfondi, un projet esthétique et fonctionnel validé par les différents praticiens, puis clairement expliqué au patient.